Boris Cyrulnik

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Boris Cyrulnik
Portrait de Boris Cyrulnik
Boris Cyrulnik, en novembre 2011.
Biographie
Naissance (86 ans)
Bordeaux
Nationalité Française
Thématique
Formation Faculté de médecine de Paris et collège-lycée Jacques-DecourVoir et modifier les données sur Wikidata
Profession Neurologue (en), psychiatre et psychanalysteVoir et modifier les données sur Wikidata
Employeur Université de la Méditerranée-Aix-Marseille-II et université de ToulonVoir et modifier les données sur Wikidata
Travaux Éthologie clinique
Intérêts psychanalyse
Idées remarquables résilience
Distinctions Prix Renaudot de l'essai (d), commandeur de la Légion d'honneur‎ (en) et docteur honoris causa de l'université catholique de Louvain (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Boris Cyrulnik, né le à Bordeaux, est un auteur de livres grand public traitant de psychologie et de récits de vie, ainsi qu'une personnalité médiatique française. Médecin neuropsychiatre de formation ayant un temps exercé comme tel mais aussi comme psychanalyste, il a animé un groupe de recherche en éthologie clinique au centre hospitalier intercommunal Toulon-La Seyne-sur-Mer. Il est directeur d'enseignement du diplôme universitaire d'éthologie humaine de l'université de Toulon.

Il a notamment vulgarisé le concept de « résilience » (renaître de sa souffrance) qu'il a tiré des écrits de John Bowlby[1]. À la suite de ce dernier, Boris Cyrulnik voit d'abord l'éthologie comme « un carrefour de disciplines »[2].

Il est membre du comité d'honneur de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD)[3]. Boris Cyrulnik est également engagé pour la protection de la nature et des animaux.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse[modifier | modifier le code]

Boris Cyrulnik naît à Bordeaux en 1937[4], au sein d’une famille juive ashkénaze arrivée en France dans les années 1930[5]. Son père, Aaron Cyrulnik, ébéniste ukrainien né à Luck[6], s'engage dans la Légion étrangère[7]. Sa mère, polonaise, Estera Cyrulnik (née Smulewicz), est née à Lublin[8]. Durant l'Occupation, ses parents le confient en 1942 à une pension pour lui éviter la déportation[9]. Il est ensuite recueilli à l'Assistance publique, puis par une institutrice bordelaise, Marguerite Farges, qui le cache chez elle rue Adrien-Baysselance durant deux ans[7]. Lors de la rafle du , il est détenu à la grande synagogue de Bordeaux[7]. Il s'y cache dans les toilettes et est sauvé alors par une infirmière[10],[11]. Il est ensuite pris en charge et caché par un réseau, puis placé dans une ferme, sous le nom de Jean Laborde, jusqu'à la Libération[7].

Ses parents, arrêtés en 1942 et 1943, meurent en déportation, et il est recueilli à Paris par sa tante maternelle, Dora, seule survivante, qui l'élève. Il explique que c'est cette expérience personnelle traumatisante qui l'a poussé à devenir psychiatre[6].

Formation et carrière[modifier | modifier le code]

Boris Cyrulnik fait ses études secondaires au lycée Jacques-Decour à Paris, puis supérieures à la faculté de médecine de Paris. Le service de neurochirurgie parisien dans lequel il fait fonction d'interne pendant un an (1967-1968) refuse de prolonger son contrat, et le service de psychiatrie de l'hôpital de Digne dans lequel il commence alors son internat refuse également de prolonger son contrat au bout d'un an (1968-1969), malgré l'appel de cette décision qu'il fait alors auprès du conseil de l'ordre[12]. Afin de valider son certificat d'études spéciales en neuropsychiatrie, il semble trouver un point de chute dans le service de psychiatrie du Pr Sutter[12] à Marseille (une autre version de sa biographie mentionne quant à elle un internat en psychiatrie à Digne-les-Bains de 1968 à 1971)[réf. nécessaire]. Dans les entretiens réalisés pour l'émission À voix nue de France-Culture, il dit avoir passé plusieurs années à exercer à l’hôpital de Digne-les-Bains.

Il devient ensuite médecin chef de La Salvate, un établissement privé de postcure psychiatrique[13]. Il quitte ce poste en 1979 et s'installe comme psychanalyste à mi-temps[4], tout en donnant des consultations au centre hospitalier intercommunal Toulon-La Seyne-sur-Mer (jusqu'en 1991) ; il y crée un groupe de recherches en éthologie clinique qu'il anime jusqu'à la fin des années 1990 au moins[14]. Il publie en 1984 Éthologie clinique : 14 textes originaux (éditions de la Société de psychologie médicale de langue française)[15]. Chargé de cours d'éthologie humaine à la faculté de médecine de Marseille de 1974 à 1987, il est depuis 1995/1996[réf. souhaitée] directeur d'enseignement d'un diplôme universitaire en éthologie humaine de l'université de Toulon[16].

En 1998, il est nommé président du Centre national de création et de diffusion culturelles de Châteauvallon, puis en 2005 président du prix Annie-et-Charles-Corrin sur la mémoire de la Shoah (depuis 2005).

Boris Cyrulnik est une des 43 personnalités ayant constitué la commission Attali sur les freins à la croissance, dirigée par Jacques Attali et installée le par Nicolas Sarkozy[17].

De 2007 à 2014, il est l'un des deux chroniqueurs dans l'émission Histoire d'Homme réalisée par Marie-Odile Monchicourt, avec Yves Coppens, sur France Info[18].

Il préside à partir de 2012 le conseil scientifique de l'université privée Fernando-Pessoa, devenue le Centre libre d'enseignement supérieur international (CLESI) puis Europe Eduss, avec un autre universitaire et ancien président de l'université de Toulon, Bruno Ravaz[19],[20]. Elle sera condamnée à fermer ses portes le [21].

Après avoir présidé, en 2018, les Assises de l’école maternelle, Boris Cyrulnik s'est vu confier par le président Emmanuel Macron en la présidence du « Comité des 1 000 premiers jours de l'enfant », une période fondatrice dans le développement des tout-petits. La commission d’experts bénévoles a rendu ses travaux en [22]. Le gouvernement a en parallèle engagé le cabinet privé de conseil en stratégie Roland Berger pour une mission identique mais facturée 425 000 [23].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Il se marie en 1964 avec une femme médecin et peintre[4], le couple qui vit à quelques kilomètres de Toulon[24] a une fille, Natacha, qui est une réalisatrice de films documentaires et maître de conférences à l'université Aix-Marseille et un garçon, Ivan, musicien[25].

Honneurs et distinctions[modifier | modifier le code]

Prises de position[modifier | modifier le code]

Interrogé fin 2011 sur la querelle autour de la « théorie du genre », Boris Cyrulnik répond : « Je pense que le « genre » est une idéologie. Cette haine de la différence est celle des pervers, qui ne la supportent pas. Freud disait que le pervers est celui qu'indispose l'absence de pénis chez sa mère. »[28].

Sur l'homoparentalité, Boris Cyrulnik est plutôt pour : « Selon mon expérience, les enfants élevés par des couples homosexuels grandissent comme les autres[29]. »

L'engagé pour la défense des droits des animaux est l'ami de l'éthologue et anthropologue britannique Jane Goodall et membre de l'Institut Jane Goodall France[30].

Conteur à la « voix douce, enveloppante et délicieusement régressive[31] » et vulgarisateur (en 2010, il a vendu plus de 1,5 million d'exemplaires de ses différents ouvrages)[32], Boris Cyrulnik a en effet réussi à médiatiser des thèses biologisantes[33] : « gène du surhomme » qui « facilite le transport de la sérotonine, un neuromédiateur qui lutte contre les émotions dépressives » et joue un rôle déterminant dans la résilience[34] ; différences naturelles de tempéraments et de comportements entre individus (et plus particulièrement entre hommes et femmes), déterminées par les prédispositions génétiques, les hormones sexuelles, le système immunitaire[35],[36].

Critiques[modifier | modifier le code]

Le journaliste scientifique Nicolas Chevassus-au-Louis explique dans une enquête que Boris Cyrulnik raconte « peu ou prou la même chose » dans ses 18 livres (2,5 millions d’exemplaires vendus) avec de nombreuses banalités, des contradictions et des références, notamment scientifiques, défaillantes (non référencées, invérifiables). Son statut de scientifique y est aussi questionné puisque : il n’exerce plus comme médecin depuis 1999, il n’est pas éthologue (ce qu’il confirme au journaliste) et il n’est guère cité dans les publications académiques. Concernant la notion empruntée de résilience, le journaliste ajoute qu’il se contente « dans ses livres d’enchaîner les anecdotes sans esquisser la moindre théorisation sérieuse » alors même que des discussions ont cours dans le milieu scientifique[37].

La chercheuse indépendante Odile Fillod consacre deux billets critiques aux thèses et au parcours de Boris Cyrulnik[38],[39].

Publications (sélection)[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

En anglais[modifier | modifier le code]

En allemand[modifier | modifier le code]

(Pourquoi l'amour guérit les plaies)
(Corps et âme)
  • Scham. Im Bann des Schweigens. Wenn Scham die Seele vergiftet, traduit par Maria Buchwald et Andrea Alvermann. p (2011), 248 pages
(Mourir de dire : La honte)

Préfaces[modifier | modifier le code]

  • Françoise Maffre Castellani : Femmes déportées, Histoires de résilience (ISBN 978-2721005199).
  • Patrick Lemoine (ht) : Séduire, comment l'amour vient aux humains, Rouge, 2002.
  • Jean-Bernard Bonange et Bertil Sylvander : Les clownanalystes du Bataclown : Miroirs révélateurs de la vie sociale, coll. « Précursions » (dirigée par Jean-Pierre Klein), 2017.
  • Claude Béata : La Folie des chats, édition Odile Jacob, octobre 2022
  • Boris Cyrulnik, Jean-François Horemans, Lenny Pamart, Diplomatie et droits des enfants : de Janusz Korczak aux Nations-Unies, Chronique sociale, avril 2024 (ISBN 978-2-36717-969-8)

Ouvrages collectifs[modifier | modifier le code]

  • La Plus Belle Histoire des animaux, collectif,  éd. Seuil, 2006.
  • Si les lions pouvaient parler. Essais sur la condition animale, sous la direction de Boris Cyrulnik,  éd. Gallimard, coll. « Quarto », Paris, 1998, 1 540 p. 80 documents.
  • Boris Cyrulnik, « Instinct/Attachement », dans Dictionnaire de la sexualité humaine, 200 notices par 122 coauteurs, sous la direction de Philippe Brenot,  éd. L'Esprit du temps, collection « Les Dictionnaires », Paris, 2004, 736 pages, et Les Objets de la psychiatrie, dictionnaire de concepts, 230 notices par 150 auteurs, sous la direction de Yves Pélicier, éd. L'Esprit du temps, collection Les Dictionnaires, Paris, 1997, 650 pages.
  • Boris Cyrulnik et Claude Seron (dir.), La Résilience ou Comment renaître de sa souffrance,  éd. Fabert, collection « Penser le monde de l'enfant », Paris, 2004 (ISBN 2-907164-80-5).
  • Nicolas Martin, Antoine Spire, François Vincent et Boris Cyrulnik, La Résilience. Entretien avec Boris Cyrulnik, Le Bord de l'eau éditions, coll. « Nouveaux Classiques », Lormont, France, 2009, 111 pages (ISBN 978-2356870261).
  • De l'attirance à l'amour, Harmattan, 2010 (ISBN 978-2-296-12080-8)
    Coécrit avec Michel Bernard, Thierry Tournebise, Jean-François Mattei, Carol Burte, Boris Cyrulnik, Max Poty.
  • avec Jean-Pierre Pourtois : École et résilience, Odile Jacob (ISBN 978-2738120120)
  • Nous étions des enfants, Entretien d'introduction au coffret de 10 DVD réalisés par Jean-Gabriel Carasso et produits par L'oizeau rare avec le Comité École de la rue Tlemcen. Cet ouvrage présente 18 témoignages d'enfants déportés ou cachés parce que Juifs, durant la Seconde guerre mondiale.
  • Les animaux aussi ont des droits, livre de Boris Cyrulnik, Peter Singer et Élisabeth de Fontenay, Seuil, 2013 (ISBN 978-2738135018).
  • La Folle Histoire des idées folles en psychiatrie, sous la direction de Boris Cyrulnik et Patrick Lemoine, Odile Jacob, 2017 (ISBN 978-2021107708).
  • L'impossible paix en Méditerranée, avec Boualem Sansal, éd. L'Aube, 2017.
  • Histoire de la folie avant la psychiatrie, sous la direction de Boris Cyrulnik et Patrick Lemoine, Odile Jacob, 2018.
  • Faut-il imiter pour exister? Tous des copieurs (et tant mieux!), Philippe Duval, 2019 (ISBN 978-2490737000).
  • Boris Cyrulnik et la petite enfance - 2e édition, Philippe Duval, 2019 (ISBN 978-2490737093).

Entretiens[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. John Bowlby, Attachement et perte, trois volumes, PUF, coll. « fil rouge », 2002.
  2. Mémoire de singe et paroles d'homme.
  3. Page « Comité d'honneur », sur le site de l'ADMD.
  4. a b et c Pascale Nivelle, « La maladie du bonheur », , Libération, (consulté le ).
  5. (en) « Escape from the Past », The Guardian, .
  6. a et b « Entretien : Boris Cyrulnik, la confession », Le Point, .
  7. a b c et d Documentaire Boris Cyrulnik. À l'assaut du malheur, de Youki Vattier, produit par Docside Production, 2009, collection « Empreintes » (diffusé sur France 5 le ).
  8. Voir Mémorial de la Déportation des Juifs de France, Klarsfeld, 2012.
  9. Émission Des mots de minuit no 497 le sur France 2.
  10. Anne Crignon, « Boris Cyrulnik : L'échappée belle », Le Nouvel Observateur, .
  11. « Force intérieure : trouver le courage en nous », Psychologies Magazine, .
  12. a et b De chair et d'âme, éd. Odile Jacob, 2006, p. 9-10.
  13. Curriculum Vitae de sur le site du Consulat de France à Jérusalem : http://www.consulfrance-jerusalem.org/IMG/CV_Boris_Cyrulnik_francais_arabe_def.doc
  14. Au début de la vie psychique (Odile Jacob, 1999), p. 172 : « Boris Cyrulnik : neuropsychiatre, anime un groupe de recherche en éthologie clinique à l’hôpital de Toulon-La-Seyne ».
  15. « Éthologie clinique : 14 textes originaux (S.P.E.I. Éditeur, 1984) ».
  16. Page de présentation du diplôme universitaire (DU).
  17. « Attali veut libérer la croissance »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur LeJDD.fr, .
  18. Histoire d'Homme par Marie-Odile Monchicourt, Boris Cyrulnik et Yves Coppens, présentation de l'émission sur franceinfo.fr.
  19. « Fernando Pessoa de Toulon, ses demi-mensonges et ses vraies omissions », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « L'ouverture à Toulon de l'antenne d'une université portugaise fait polémique », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « L’université Fernando-Pessoa condamnée à fermer ses portes », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Les 1 000 premiers jours : Boris Cyrulnik remet le rapport de la commission d’experts à Adrien Taquet, secrétaire d’État en charge de l’Enfance et des Familles », sur solidarites-sante.gouv.fr, .
  23. « « 1 000 premiers jours » de l’enfant : la commission Cyrulnik, bénévole, ignorait que le gouvernement avait payé des consultants privés sur une mission parallèle », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne).
  24. « "Les mots font saigner la mémoire" : épisode 1/5 du podcast Boris Cyrulnik : la résilience et l’espoir », sur France Culture (consulté le )
  25. Sylvie O'Dy, « Boris Cyrulnik, l'arpenteur de l'âme humaine », sur lexpress.fr, .
  26. « Décret du portant promotion dans l'ordre national de Légion d'honneur - Légifrance », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  27. Légion d'honneur du Nouvel An. sur LaLibre.be en ligne (consulté le ).
  28. « Boris Cyrulnik face au suicide des enfants » entretien, Le Point.fr, .
  29. « Homos et parents ? » Psychologies Magazine.
  30. Boris Cyrulnik rejoint le comité d'honneur de l'Institut Jane Goodall France, newsletter de l'Institut Jane Goodall France.
  31. Marie Huret, avec Marie Cousin, « Boris Cyrulnik. Le psy qui redonne espoir », sur L'Express, .
  32. a et b Anne Jouan, « Boris Cyrulnik, les best-sellers de l'âme », sur Le Figaro, .
  33. Sébastien Lemerle, « Les habits neufs du biologisme en France », Actes de la recherche en sciences sociale, nos 176-177,‎ , p. 68-81.
  34. Boris Cyrulnik, De chair et d’âme, Odile Jacob, , p. 13.
  35. Boris Cyrulnik, Pierre Bustany, Jean-Michel Oughourlian, Christophe André, Thierry Janssen, Patrice Van Eersel, Votre cerveau n'a pas fini de vous étonner : Entretiens avec Patrice Van Eersel, Albin Michel, , 242 p..
  36. Sébastien Lemerle, Le singe, le gène et le neurone. Du retour du biologisme en France, PUF, , 280 p..
  37. Nicolas Chevassus-au-Louis, « Le grand bazar de Boris Cyrulnik », Revue du crieur, no 6,‎ , p. 22-37 (lire en ligne).
  38. Odile Fillod, « Boris Cyrulnik : stop ou encore ? (1ère partie) », sur Allodoxia, (consulté le ).
  39. Odile Fillod, « Boris Cyrulnik : stop ou encore ? (2ème partie) », sur Allodoxia, (consulté le ).
  40. Sciences et Avenir, .
  41. Mehdi de Graincourt, « Psychologie Résilience », Citadine n°192,‎ , p. 30
  42. Marie-Pierre Genecand, « Boris Cyrulnik: «On a tous le choix entre comprendre ou condamner» », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le ).
  43. Robert Habel, « Un plaidoyer pour la pensée libre », Le journal de l'immobilier,‎ , p. 34 (lire en ligne).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Corinne Benestroff, « Boris Cyrulnik, Sauve-toi, la vie t’appelle », Témoigner, Entre histoire et mémoire (Revue internationale de la Fondation Auschwitz), no 116,‎ , p. 113-116 (DOI https://doi.org/10.4000/temoigner.392, lire en ligne)
  • Catherine Vincent, « Boris Cyrulnik, bâtisseur d'espoir », Le Monde, .
  • Boris Cyrulnik. À l'assaut du malheur, documentaire de 52 minutes réalisé par Youki Vattier, dans la collection « Empreintes », France Télévisions Distribution, 2009.
  • « Le travail peut être beau et rendre heureux », entretien avec Boris Cyrulnik, Acteurs de l'économie, .
  • Le Divan Marc Olivier Fogiel, France 3, émission du vendredi .

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]