Moncrabeau

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Moncrabeau
Moncrabeau
L'Église Sainte-Marie-Madeleine.
Blason de Moncrabeau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Nérac
Intercommunalité Communauté de communes Albret Communauté
Maire
Mandat
Nicolas Choisnel
2020-2026
Code postal 47600
Code commune 47174
Démographie
Gentilé Moncrabelais
Population
municipale
737 hab. (2021 en augmentation de 0,27 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 02′ 05″ nord, 0° 22′ 18″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 185 m
Superficie 49,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Albret
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site de la mairie

Moncrabeau est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située dans le Pays d'Albret sur la Baïse entre Condom et Nérac. Elle est limitrophe du département du Gers.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Condom, Gazaupouy, Ligardes, Francescas, Fréchou, Lannes, Lasserre et Mézin.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 773 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nérac à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Moncrabeau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,1 %), zones agricoles hétérogènes (25,1 %), forêts (5,7 %), cultures permanentes (2,6 %), prairies (0,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Moncrabeau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Baïse, l'Auvignon et l'Osse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Moncrabeau.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 98,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme de monte Caprelli en 1281[21].

Il s'agit sans doute d'une formation toponymique médiévale en Mont-, au sens d'« élévation, colline », comme semble l'indiquer les formes latinisées, alors que la forme actuelle est en Mon- (sans t). Il est suivi d'un élément cabrel ou craba > crabeau qui semble représenter un animal[21]. Cabrel > crabel (avec une métathèse de [r] propre au gascon) est sans doute dérivé de craba « chèvre ».

Quasi homonymie avec Montchevrel (Orne, Montchevreil 1247)[21] de type normand méridional et Montcavrel (Pas-de-Calais)[21] de type picard.

Histoire[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Moncrabeau Blason
Écartelé : au premier et au quatrième d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au deuxième et au troisième d'argent plain[22].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1983 [23] Christian Lussagnet UMP Conseiller général du canton de Francescas (2001-2015)
En cours Nicolas Choisnel UMP[24]  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 737 habitants[Note 4], en augmentation de 0,27 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 4842 6362 5562 5892 5222 5612 3702 2862 352
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2712 1972 1542 0622 0441 9951 9151 8281 755
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7401 6961 6081 3631 4941 4141 4001 3921 288
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1731 050915823789780810818751
2018 2021 - - - - - - -
738737-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Le coteau de Peyroutet est un site naturel remarquable géré par le conservatoire d'espaces naturels d'Aquitaine[45] depuis 1999 en partenariat avec les propriétaires, exploitants agricoles. Ce site offre un remarquable panorama sur les coteaux de l'Albret, parfois même sur la chaîne des Pyrénées. Il abrite une grande richesse écologique dont notamment près d'une trentaine d'espèces d'orchidées sauvages.

Vie locale[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

  • Festival des menteurs de Moncrabeau[46]. Les habitants de Moncrabeau se flattaient d’être les plus menteurs de tous les Gascons. Une « Académie des Menteurs » comprenant quarante membres existe depuis le XVIe siècle. Le festival élit chaque année le Roi des Menteurs, qui siège sur un trône de pierre.
  • "C’est un devoir, pour tout voyageur, d’aller à Moncrabeau prendre ses lettres de créance, comme chacun sait, puisqu’elles donnent à tous agrégés le droit de mentir en tous lieux, sans porter préjudice à autre qu’à la vérité... Voici, en peu de mots, l’origine de la singulière célébrité que Moncrabeau s’est acquise : Au commencement du siècle dernier [XVIIIe siècle] quelques militaires, retirés dans cette petite ville, formèrent une société qui se rassemblait sous la halle, pour y parler des affaires publiques et des événements du pays : cette réunion avait ses Métra *, ses abbés Trente-mille-hommes, qui suppléaient, par des nouvelles de leur invention, à celles qu’ils n’apprenaient pas assez vîte : leur talent, dans ce genre, fit une réputation à la ville où ils avaient établi cette fabrique de hableries, et valut à Moncrabeau le titre de chef-lieu de la diète générale des menteurs, hableurs et craqueurs du royaume. Un plaisant du pays rédigea des lettres-patentes, qu’il fit imprimer, et les expédia, dans toute l’Europe, à ceux qu’il jugea dignes d’un pareil honneur : depuis lors, les habitans de Moncrabeau ont ajouté à cette plaisanterie celle de conduire l’étranger qui fait quelque séjour au milieu d’eux à la salle de la diète, c’est-à-dire sous la halle ; de le faire asseoir sur la pierre de la vérité, et de lui expédier son brevet en bonnes formes". (Étienne de JOUY, L’hermite en province, 1818, t.I ; pp. 349–351). * Nouvellistes de l’arbre de Cracovie, au Palais-Royal.
  • Festival de Cauberotte (jazz, bio...).
  • Église Saint-Sigismond de Vialère - XIIe, redécouverte en 2009 sur le site d'une grange. Les fouilles indiquent une présence gallo-romaine datant du IVe siècle.
  • Membre de l'Association des communes de France aux noms burlesques et chantants.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Michel Goma styliste et costumier né à Moncrabeau.
  • Michel Gardère journaliste et écrivain né à Moncrabeau.
  • Kamel Khrissate.
  • Joseph Ninon : représentant à la Chambre des Cent-Jours, né à Moncrabeau le , mort le 24 octobre 1834, « fils de sieur Pierre Ninon, marchand et de demoiselle Marianne Claverie », maire de Moncrabeau, puis conseiller général (an XIII), et sous-préfet de Nérac sous le premier Empire, fut élu, le , représentant du grand collège de Lot-et-Garonne à la Chambre des Cent-Jours, par 41 voix sur 52 votants. Son rôle parlementaire prit fin avec cette courte législature, restant fidèle à l’Empereur[47].
  • Pierre-Hyacinthe Duvignau : dit « Fiton », né en 1754 à Bordeaux, fils de Jacques Duvigneau né à Moncrabeau le 10 octobre 1708, lui-même juge procureur au Parlement de Bordeaux. Pierre-Hyacinthe eut trois enfants dont l’aîné Jacques, juge de paix, percepteur des Impôts de Francescas, fut maire de Moncrabeau de 1822 à 1828. Le deuxième fils Pierre Gabriel fut maire de Condom et le troisième Jean-Baptiste, dit Timothée, dont nous n’aurons pas plus de précision. Comme se plaît à le qualifier Étienne Jouy ; Pierre-Hyacinthe avait un caractère entier, passionné, et était gagné aux idées de la Révolution. Il fut juge de Macau et procureur au parlement de Bordeaux, il eut une éducation soignée et fut reçu avocat à l’âge de 21 ans. franc-maçon initié à la française alors que la grande majorité des loges bordelaises initient selon les rites britanniques ou écossais. Il est membre du Musée et de la Société des amis de la Constitution dont il fut finalement le président. Sous l’Ancien Régime il fut procureur au Parlement de Guyenne. Lors de la création des tribunaux criminels, en 1791, il fut nommé greffier de celui de la Gironde. En 1792, après une indescriptible vague de massacres, il demanda la condamnation de Marat et ce dernier fut arrêté puis relâché. Robespierre en personne dut intervenir pour calmer la fougue de Duvignau. La ville de Bordeaux, afin de marquer son soutien à ses représentants, envoya des commissaires à la Convention nationale, pour réclamer une espèce d’inviolabilité de tous les membres qui la composaient et l’achèvement de la constitution. Cette démarche accéléra la perte des Girondins et des commissaires bordelais, Duvignau surtout. Il avait porté la parole, au nom de ses concitoyens, de la manière la plus énergique, il avait été jusqu’à dire que la Garde nationale de Bordeaux était prête à marcher sur Paris, pour y rétablir l’ordre légal. De son discours à la barre de la Convention le 14 mai 1793, les instants en restent marqués. Une mégère l’agresse en plein discours et déchire son texte qu’elle jette en morceaux à ses pieds, son allocution souleva une tempête sur les bancs de la Montagne. Le Jacobin Legendre l’injuria, le traitant de ci-devant et d’aristocrate. Boyer-Fonfrède qui ce jour présidait, eut fort à faire à rétablir l’ordre et protéger ses concitoyens girondins qui regagnèrent Bordeaux qu’avec beaucoup de difficultés. Les répercussions ne se firent point attendre, la Convention dépêchât les citoyens Isabeau et Baudot pour combattre cette contre-révolution, mais ils furent reçus à Bordeaux à coups de pierre et leur voiture précipitée dans la première marre boueuse. Quelque temps après son retour orageux, il fut livré, comme conspirateur et contre-révolutionnaire à une commission militaire qui le condamna à mort et à la confiscation de ses biens. À Bordeaux, sur l’actuelle place Gambetta, le 10 thermidor an II (27 juillet 1794), Pierre-Hyacinthe Duvignau fut exécuté la veille du jour où tomba Robespierre, il avait 40 ans.[réf. nécessaire]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Moncrabeau et Nérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nerac - Man » (commune de Nérac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nerac - Man » (commune de Nérac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Moncrabeau », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  21. a b c et d Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 467b.
  22. Cercle Héraldique, Généalogique et Historique du 47
  23. Christian Lussagnet démissionne de son poste de maire
  24. Article du Petit Bleu de Lot-et-Garonne du 3 avril 2013
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Château de Lahitte », notice no PA00084173, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Inventaire général : château (domaine agricole) », notice no IA47000743, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Château de Pomarède », notice no PA00084174, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Inventaire général : château (domaine agricole) », notice no IA47000736, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Inventaire général : maison forte », notice no IA47000723, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Restes de la villa romaine de Bapteste », notice no PA00084175, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Inventaire général : villa antique », notice no IA47000730, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. a et b « Inventaire général : église paroissiale Sainte-Marie-Madeleine », notice no IA47000719, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. a et b « Inventaire général : église paroissiale Saint-Sigismond », notice no IA47000741, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. a et b « Inventaire général : église paroissiale Saint-Cyr », notice no IA47000738, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. a et b « Inventaire général : église paroissiale Saint-Roch », notice no IA47000737, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. a et b « Inventaire général : église paroissiale Sainte-Radegonde », notice no IA47000733, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. a et b « Inventaire général : église paroissiale Saint-Roch », notice no IA47000728, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. a et b « Inventaire général : église paroissiale Saint-Jean », notice no IA47000726, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Église Saint-Clair d'Artigues », notice no PA00132536, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Inventaire général : église paroissiale Saint-Clair », notice no IA47000721, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. Le site du CEN Aquitaine
  46. http://www.albret-tourisme.com/modules/edito/content.php?id=48
  47. Histoire biographies 1789-1889 tome 4